On s'était promis que jamais on se quitterais ― JOY

got my ass squeezed by sexy cupid.

« On s'était promis que jamais on se quitterais. », voici la dernière phrase que j’avais prononçait à ma meilleure amie, c’était elle, de sa faute si tout ce qu’on avait créé ses dix-huit dernières années avait finis comme un vulgaire château de carte après un coup de vent. Oui, elle avait tout détruit, mais malheureusement pour ma conscience, j’y étais aussi pour quelque chose. Un couple ça se forme à deux, une amitié c’est la même chose, il faut que les deux personnes soient investis pour que la relation fonctionne et avance. Pour nous deux ça n’a pas été aussi évident, nous étions pas assez accrochés l’une à l’autre pour pouvoir finir ensemble, qui a déjà parcouru un chemin sans embûches ? La raison pour laquelle nous avons rompu le pacte que nous avions « signés » il y avait de ça quinze ans, c’est que dans une ville comme New York, les hommes sont tellement nombreux que parfois, avec une chance extrême, votre meilleure amie et vous-même, sortaient avec le même. Mais revenons un peu en arrière, Anna et moi nous étions rencontrait lors d’un après défilé de la Fashion-Week new yorkaise, des années auparavant, nous avions ce qu’on appelle des familles de cinglés qui n’étaient jamais là, il fallait donc bien qu’on prenne soin l’une de l’autre, c’est comme ça que nous avions appris à nous connaître, mais les enfants grandissent, nous l’avons compris à nos dépends, et quand les enfants grandissent, ils changent, nous n’avons pas échappés à la règles. Grandir va de paire avec problèmes, et souvent ces problèmes sont relationnels. C’est alors que j’ai rencontré Jason, un garçon de deux ans mon aîné, il était parfait, l’homme qu’on attend toutes, mais qui ne vient jamais, j’avais eu la chance de l’avoir sous la main et le laisser partir aurais rimé avec suicide. C’est pour cela que je l’avais présenté à ma meilleure amie, nous avions toujours besoin de l’avis de l’autre pour être entièrement sure, c’est peut-être ça le problème au fond. Un jour, alors que nous arpentions les rues de la grosse pomme, nous décidâmes de nous arrêter dans un Starbucks Coffee où Anna était déjà installé, je ne l’avais pas revue depuis la présentation de mon boyfriend, quelques jours auparavant. Quand nous sommes entrés, j’ai tout de suite sentie l’alchimie entre eux d’eux, et les regards qui ne trompent pas. Aussi froide que la nature pouvait le faire, cette après-midi se passa sans aucuns mots de ma part, les deux jeunes nouveaux amis, où je ne sais comment les qualifier, non fait que parler de leurs études dans les grandes facultés du pays, lui Stanford, elle, Yale. Ayant aussi été à Yale j’aurais pu participer à la conversation, mais les voyant tout deux, limite main dans la main, mon extrême bonté à pris le dessus, et les a laissés parler tranquille. Plus tard dans la semaine, alors que je rentré d’une après-midi shopping -seule-, je décidais d’aller chez Anna pour lui montrer mes nouvelles acquisitions, je voulais surtout lui montrer ma robe en mousseline Stella McCartney et mes deux paires de Louboutin. En entrant dans son appartement sur Lexington Avenue, je ne vis personne, je pensais directement à l’attendre dans sa chambre, ou j’allais disposer mes nouvelles affaires sur son divan en l’attendant avec le Starbucks que je venais de prendre quelques minutes plus tôt au coin de la rue. C’est avec une surprise démesurée que j’entrais dans la pièce, voyant ma meilleure amie et mon censé petit-ami l’un sur l’autre, dans ses draps de soie. Mes sacs sont tombés sur le sol, laissant un bruit sourd envahir la pièce, je restais ici, pétrifiée par la vision d’eux deux à moitié nus. Tout de suite, ils essayèrent de faire passer cette scène comme anodine et faisant partie du quotidien, c’était surement le cas, sauf que j’avais tout gâché, en entrant comme une fuerie telle une gamine dans un rayon d’un centre commercial avant Noël. J’avais prononcé une phrase avec impassibilité, qu’elle n’oublierais surement jamais: « On s'était promis que jamais on se quitterais. ». Après cet instant, ma seule envie était de quitter la ville et une ocassion s’est très vite presentée, j’ai donc embarquée avec toute mes affaires -c’est rien de le dire- pour les Bahamas.

where are those fucking chickens ?

PSEUDO/PRÉNOM - Chaotic/Kevin
AGE - 17 y.o.
COMMENT T'ES ARRIVE LA, MON POTE ? - mail
DIS, TU M'AIMES ? - ouiiiiiii
T'AS ENVIE DE ME FAIRE DES BÉBÉS ? - nooon
UNE KASDEDI, PEUT-ÊTRE ? - super forum, qui j'espère durera longtemps.
AUTRE CHOSE, MON CHOU ? - seuls mes ami(e)s m'apelle mon chou, une chance pour toi d'en faire partie ... (a)