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 'cause happiness throws a shower of sparks.

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Neel E. Rainaert

Neel E. Rainaert


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MessageSujet: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyLun 26 Juil - 17:20


neel eden rainaert .
____ « a force de se retenir d'aimer on peut en perdre la capacité. »
____________ robert pattinson
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    'cause happiness throws a shower of sparks. 2vlofie 'cause happiness throws a shower of sparks. 28gv343
    made by candies world
what is your name? « Neel. » how old are you? « 21yo. » where do you come from? « Paris. » Are you in a relationship? « alone. » Do you like to party? « yes! » are you living here or are you a simple tourist?« i'm living here. »

― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ―



where are those fucking chickens ?

    PSEUDO/PRÉNOM - LEMON TREE
    AGE - 18 ans
    COMMENT T'ES ARRIVE LA, MON POTE ? - par Wild World ♥
    DIS, TU M'AIMES ? - terrible. *o*
    T'AS ENVIE DE ME FAIRE DES BÉBÉS ? - une dizaine au moins. 'cause happiness throws a shower of sparks. 106970
    UNE KASDEDI, PEUT-ÊTRE ? - *mode aphone*
    AUTRE CHOSE, MON CHOU ? - nothing ♥



Dernière édition par Neel E. Rainaert le Jeu 29 Juil - 11:35, édité 7 fois
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Neel E. Rainaert

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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyLun 26 Juil - 17:21

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Citation :
« Le temps emporte tout qu'on le veuille ou non. Le temps efface tout et tout ce qui reste à la fin ce sont les ténèbres. Parfois au cour des ténèbres on retrouve d'autres personnes. Et parfois au cour des ténèbres on les perd à nouveau.» STEPHEN KING « Notre société est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature avec un masque.» ROBERT LOUIS STEVENSON « L'irrationalité d'une chose n'est pas un argument contre son existence, plutôt une condition d'être » FRIEDRICH NIETZCHE « La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. » ALFRED DE MUSSET « La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre. » ALBERT EINSTEIN « Quand vous voyagez à l'intérieur de vous-mêmes, les courants vous entraînent fatalement vers votre enfance et vous risquez fort de retrouver des souvenirs qui vous feront perdre le chemin du retour. » POULIN « Au fond, c'est ça la solitude : s'envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours. » AUGUST STRINDBERG « J’aime cette apparence ectoplasmique, je suis l’allégorie de ma propre déprime, l’incarnation du laisser-aller et du désespoir » LOLITA PILL « On dit que le temps guérit les blessures. Je ne suis pas d'accord. Les blessures restent. Avec le temps, l'esprit, pour se préserver, les recouvre de cicatrices, et la douleur diminue, mais elles ne partent jamais. » ROSE KENNEDY « Les pires sanglots répandus sur les tombes lebes le sont pour des mots non dits et des actes non faits. » HARRIET BEECHER « l'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui. » - BOLESLAW PRUS « Ne prenez pas la vie au sérieux; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. »

J'OBSERVAI LE MONDE. IL AVAIT L'AIR NORMAL.

Citation :
La vie peut prendre parfois des tournures étranges. Les gens ont des rêves, les gens ont de l'espoir. Puis tout s'évapore et la réalité vous rattrape. Cette réalité qui vous tord les tripes à en vomir, un cauchemar éveillé pour ceux qui ne sont pas nés au bon endroit au bon moment. Pour ceux qui n'ont simplement pas de chance. Pour Neel Eden Rainaert, la vie n'a pas toujours été une partie de plaisir. Ce n'est pas un conte de fée, même si l'histoire commence également par « il était une fois ». Mais il ne faut pas vous attendre à y rencontrer des princes et des farfadets. Sauf peut-être dans vos rêves les plus fous...

« Hein que tu es beau mon cœur? Ma oui tu es craquant tout plein! » Maman. Étrange créature que celle qui m'a donné la vie. Elle avait fêté ses quarante-huit ans il y a deux mois, trois jours et treize heures, très précisément. Cependant, comme la quasi totale absence des femmes de son âge, la crise de la quarantaine avait été comme une révélation, une renaissance. Jamais encore je ne l'avais vu aussi enjouée, autant heureuse. Comme si la perspective d'arriver à l'automne de sa vie lui procurait une dose d'adrénaline soudaine. Incompréhensible. Et bien qu'âgé de vingt trois ans, elle continuait à me considérer comme la petite merveille de la famille. Petite ne convenait guère aux vues de mon mètre quatre-vingt-sept contre son mètre cinquante-quatre. Qu'importe. Aussi incroyable que cela puisse paraître, et malgré nos antécédents, elle restait celle à qui je devais tout. De ma naissance jusqu'à ma vie actuelle. Mon avenir. Surprenant, je vous l'accorde. Surtout quand on sait qu'elle a été la première à refuser de m'aider lors de l'obtention de mon diplôme de journaliste. Avec du recul, je ne peux que la remercier de tant de cruauté. L'être humain a beau être complexe, il est indéniable qu'il cache - au fond de lui - des tendances sado-masochiste très prononcées. J'en étais la preuve vivante, bien que cette idée me fasse ricaner bêtement. Encore une preuve de connerie humaine. Enfin. Peut-être que je m'écarte du sujet, non? N'hésitez pas à me botter les fesses, je suis du genre bavard et radoteur lorsque l'envie me prend. Nous disions donc: mon passé.



CHAPTER ONE ; WHEN JESUS WAS.

« Papa, maman, je vais faire des études de journalisme et... Je suis homosexuel. » La claque. Quatre yeux se figèrent, et se rencontrèrent le temps d'un court moment. Regard qui en dit long. Je tenais en horreur ces discutions silencieuses dont ils usaient en ma présence. Tous ces non-dits dissimulés, cette réalité adoucie. Je leur en voulais de me cacher certaines choses de peur de fragiliser ma sensibilité. Être sensible - comme je l'étais - ne signifiait en aucun cas être une loque, un tas de morve à la moindre difficulté. A de nombreuses reprises je leur avais prouvé que j'étais un homme, un de ceux qui perce leur destinée dans les encombres. Qui se déjoue des malsains comme il se débarrasse de vêtements usés. Qui prend des décisions comme il boit son café au réveil. Avec naturel, méfiance et jugement. J'étais de la trempe des indépendants, ces gaillards qui survivent par leurs propres moyens, dédaignant l'aide de quiconque. Même l'argent de mes parents n'arrivait pas à m'adoucir. Je ne pouvais me reposer sur mes deux oreilles en sachant que, sans eux, je n'étais plus rien. J'étais de ceux qui proclament et clament leur liberté à qui veut l'entendre. Une sorte de Tom Sawyer des temps modernes, un paisible vagabond. Je disposais de ma vie comme il me plaisait de l'entendre, et n'écoutais attentivement que des paroles triées. Je n'enregistrais que les positifs, les encouragements et les adorations. Tous les autres sentiments négatifs ne m'atteignaient pas. En cela résidait une force dont je commençais à connaître la puissance. Après tout, chaque homme né avec un cadeau. Que ce soit la beauté d'Hippolyte, la ruse d'Ulysse ou la force d'Achille. Puisse-t-il savoir le reconnaître avant qu'il ne soit trop tard. Pour ma part, nous avions fait connaissance lorsque j'avais seize ans. Depuis ce jour, nous ne nous sommes jamais quittés.

« Tu n'es pas normal, Neel Eden Rainaert. Pas du tout. » Ça c'est Robbyn, ma petite amie depuis bientôt un an et de qui je devais me séparer difficilement quatre ans plus tard. Notre couple avait suscité bien des surprises. D'une part à cause de nos trop grandes différences. Elle était casanière, j'étais voyageur. Elle était enfermée dans des règles, j'étais aussi libre que je désirais l'être. Elle aimait les bureaux, j'adorais l'extérieur. Elle était blonde, j'étais brun. Elle n'était pas réellement amoureuse, moi si. Tout autant de choses qui auraient pu nous éloigner, nous tenir à distance. Nous épargner une histoire houleuse et une séparation douloureuse. Mais malgré les obstacles qui avaient pu se dresser au travers de notre chemin commun, je ne regrettais rien. Il vaut mieux avoir des regrets que des remords. Je me plaisais à lire encore, et encore cette phrase qui ne convenait que trop. J'étais, de plus, on ne peut plus d'accord avec. Il était préférable de profiter de tout, quittes à le regretter par la suite. Mais au moins, c'est fait. Il n'y a aucuns remords à se dire merde, j'aurais du faire ci et ça. Putain, quel con. Affalé dans le canapé, mes pieds sur la table basse du salon, je fumais une cigarette tout en contemplant avec émerveillement le petit bout de femme qui s'affairait. Mon adoration à son égard n'avait rien de nouveau. Elle en avait conscience, et en jouait abusivement. Je le savais, également. Mais peu m'importait de n'être qu'un subalterne, une excuse tant que j'étais à ses côtés. Rien qu'à elle, pour elle et avec elle. Ma réputation de vieux jeu romantique me suivait depuis ma treizième année. Depuis le jour où j'ai offert une rose rouge à celle de qui j'étais fou pour la Saint Valentin, et chanté une sérénade - ratée - sous le balcon de sa fenêtre. Comment ça je lui avais offert une bague trouvée dans un paquet surprise? Ah merde, je l'avais oublié ce détail là. Bon bah, rajoutez-le à la liste alors qu'il ne reste pas tout seul. Le pauvre. « Tu sais que j'adore te voir dans cette position? » Pervers, obsédé. Deux traits de caractère qui ne se rencontraient que dans une intimité la plus profonde. Je ne me permettais ce genre de réflexion que lorsque j'étais habitué à la personne, et qu'elle l'était également. Que nous n'avions plus de crainte ou de honte à nous montrer nu devant l'un et l'autre. Que nous pouvions faire l'amour en plein soleil qu'importe, c'est bien mieux quand on se regarde droit dans les yeux. Son coquin sourire en coin eut raison de ma passion. Je sentais naître en moi cette flamme de désir que je ne parvenais jamais à éteindre en sa présence. Ses lèvres, sa peau, son corps, j'étais affamé de Robbyn. Tout autant qu'elle l'était de moi. Aussi gracieuse qu'un félin elle vint se lover contre moi. Ronronnant presque. Ma main se posa avec douceur sur sa cuisse, et remonta lentement sous sa légère robe d'été. Blanche. Ma couleur préférée. La couleur de la pureté, de l'innocence. De la vérité et de la lumière. De l'amour. Notre couleur.


CHAPTER TWO ; I STILL LOVING YOU.

« Putain de merde Robbyn, j'arrive pas à y croire! » Je rugissais comme un damné dans cet appartement qui avait été le notre. Mon visage d'ordinaire calme, paisible, impénétrable était marqué par des rides de colère et de douleur. Je n'arrivais pas à avaler ça. Le fait que ça nous soit arrivé à nous. Nous... Si je tenais ce salaud entre mes mains, je ne lui donnais pas deux minutes à vivre. Je lui tordrais le cou comme un plume une volaille, sans pitié ni rancœur. Ma haine à son égard était telle que je me sentais possédé par des envies meurtrières. Moi, le pacifiste de base. L'adorateur des Beatles et du mouvement hippie. Je ne pouvais poser le regard sur son visage. A peine la frôlais-je que j'en ressentais la morsure. Une brûlure. Qui me marquait à vif et détruisait mon cœur. J'avais placé une confiance sans limite en cette femme qui m'avait lâchement trahi. Je me sentais sali, bafoué. Déshonoré. Peut-être étais-je vieux jeu. Mais le respect, la fidélité et la confiance demeuraient les piliers fondamentaux d'un couple. Du moins pour moi. Sans compter l'attirance, l'affection. L'amour. Putain, ne me parlez pas plus de cette saloperie. « Je t'ai déjà dis combien j'étais désolée... Mais je pense qu'il était temps de tourner la page. Je n'ai que vingt ans Neel, merde! » Le regard que je posais sur elle à cet instant la glaça. Plus trace de colère. Seulement un dégoût et une froideur qui m'étaient étrangères. Qui ne faisaient pas parti de ma personne, de mon moi intérieur. Et pourtant je ne pouvais que respirer plus librement, l'envie m'ayant tellement chatouillée. Saisie. Je t'ai déjà dis combien j'étais désolée... J'eus envie de mourir de rire. Et pas au sens figuré. Il me semblait halluciner de tant d'hypocrisie et de mensonge. J'étouffais. J'ouvrais la fenêtre la plus proche de moi et l'ouvrais brusquement. L'air rempli de neige en ce mois de janvier me redonna toute ma tête. Je ne me laissais plus submerger par mes émotions. Je redevenais Neel. « Tu peux faire ce que tu veux d'ton cul à présent. Je m'en fous. Dégages. » Robbyn parut mettre quelques secondes à enregistrer mes paroles. Puis elle se leva et esquissa un geste dans ma direction. Je la fixais avec indifférence, lui indiquant qu'il n'y avait pas que la conversation qui était close. Mais également mon amour, mes souvenirs et le moindre contact. Je n'oublierais rien. Jamais. Je ne pouvais ignorer la blessure de mon âme, et m'efforçais de la calmer, la cicatriser. Le temps guérit toutes les blessures. Je réfute. Le temps ne fait qu'apaiser la souffrance, il ne peut guérir les marques.

« Quels secrets tu peux bien renfermer, Neel... » Je ne lui accordais pas le moindre regard. Je me contentais de l'ignorer. Comme je le faisais avec toutes jeunes femmes m'accordant trop d'importance. L'entrée de mon cœur était scellée à tout jamais. Je n'étais pas de ceux qui aiment plusieurs fois en une vie. Je n'avais qu'un seul véritable amour. Et pour moi, je venais de le vivre, et de le perdre. Adria m'adressa un regard lourd de doute et de reproche. Elle m'importunait à sans cesse me poser mille et une questions. Ma vie et mon passé ne regardaient que moi, et personne d'autre. Est-ce que je lui posais des questions sur sa vie privée, moi? Non, alors voilà. Je me rejetais vivement contre le dossier de ma chaise, battant la cadence du bout du pied. J'espérais qu'elle comprenne qu'elle m'importunait et m'agaçait. Elle le fit. Après un soupir elle quitta la table qu'il occupait seul à la base et disparue. Je respirais plus aisément. Un an s'était écoulé depuis ma rupture avec Robbyn - ah, une grimace - et pourtant il paraissait aux autres que c'était la veille. Tant je restais seul dans ma solitude, n'acceptant la bouée de sauvetage d'aucunes femmes. Je refusais leur présence et leur contact, j'étais comme un oiseau blessé. Apeuré par la présence de l'homme. De plus que la vie ne s'était pas montrée clémente depuis cette fatidique date. Mes parents m'ont mis à la porte quatre jours plus tard, estimant qu'ils n'avaient plus à se préoccuper de mes dépenses. Que j'étais adulte à présent, et responsable. Soit. J'avais entrepris de me trouver un appartement, assez rapidement pour ne pas terminer à la rue. Je m'étais retrouvé en colocation avec un homme de deux ans mon cadet, en études de médecine. Je le voyais peu et ne lui causais jamais. A quoi bon? Il gardait le nez dans ses bouquins et ne se levait que pour pisser ou manger un truc. Je ne me souviens même plus de son prénom. Joan? Yaan? Juan? Le néant. Une bière dans ma main droite, une clope dans la gauche, je regardais la vie se dérouler derrière la vitrine du Café de Flore. Des couples. Des célibataires. Des pères, mères de famille. Des adolescents. Des enfants. Le peuple parisien ne cessait de grouiller comme une fourmilière. Peu importe l'heure de la journée ou du soir, il y a toujours quelqu'un pour combler le vide. C'est ce que j'aimais en cette ville. Son dynamisme, son ambiance, son odeur, son effluve. Cette université était comme une mère pour moi, une bienfaitrice qui m'avait permis de percer dans mon avenir. Dans ma passion.



CHAPTER THREE ; UNTIL THE END.

Comme une statue de pierre, une silhouette mensongère. Un mirage. Ce n'était pas la première fois que je le voyais traîner dans le coin. Au parc. Mon endroit de prédilection pour l'écriture. C'était là que je trouvais l'inspiration pour ma passion, la patience et le temps de les mettre à profit. Combien de moments avais-je passé sous l'ombre de ce chêne à l'allure royale? Bien que plus que le jeune homme n'avait esquissé le moindre geste. A chacune de ses venues, il le trouvait tout aussi immobile. Nostalgique. Perdu dans un passé trop passionnel pour réussir à tourner la page. Oublier. Ciel que je me retrouvais lorsque je le voyais. Seul, en attente d'un signe qui ne manifestera jamais, d'une guérison qui ne viendra pas. Toutefois, nous avions une contradiction, lui et moi. Rien ne semblait atteindre son cœur alors que sa présence même illuminait mon obscurité. J'étais comme mis face à un feu ardent sous une neige mordante. Face à un espoir dans ma lente descente vers les enfers. Il restait une inconnue à mes yeux, et pourtant il m'apportait autant - si ce n'est plus - qu'une personne de mon entourage. Et bien garçon, peut-être n'es-tu pas si insensible que ça? Peut-être as-tu fais la paix avec ton cœur, signé un pacte avec ton passé? Ce devait être quelque chose du genre. Un nouveau jour qui se lève, un nouvel horizon à suivre. Je ne pouvais m'empêcher de provoquer nos rencontres. Quel mal y avait-il à cela? Je ne l'importunais pas, et me contenter de le voir. De sentir le poids léger de son pas dans l'allée, son soupir quasi habituel. Ce visage éteint, cette absence d'illumination. Un jour, je n'y tins plus. Je me devais de me satisfaire, de faire un pas dans sa direction. Son regard m'avait grisé, j'en étais obsédé au point de la comparer avec les autres femmes connues. Alors qu'il était homme. Depuis Robbyn, jamais je n'avais accordé autant d'importance à envisager une nouvelle histoire. Bien que la liste de la gente féminine et masculine ne soit pas vide. Se pouvait-il que je recommence à vivre à nouveau? L'espoir n'était pas vain. Je sentais la chaleur se propager comme un poison dans mon sang, l'énergie me revenir. La vie. L'envie de connaître ses secrets, ses pensées. Je comprenais à présent l'envie pressante qu'Adria avait à tout connaître de moi. Je me sentais elle à cet instant précis. Je désirais ardemment en savoir long sur le jeune homme. Pourquoi? Parce que je sentais que je devais le faire. J'avais l'agréable pressentiment qu'il allait jouer un rôle essentiel dans ma vie. Intuition masculine défaillante? Seul le temps nous le dira. Et le temps me l'a dit.


Dernière édition par Neel E. Rainaert le Jeu 29 Juil - 11:33, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyLun 26 Juil - 17:46

BIENVENUUUUUE I love you ,
il y a un scénario avec amber et deux personnes tentent d'avoir le rôle, ça serait un peu compliqué de jugé de la meilleure fiche avec trois personnes dont une qui ne prend pas le même personnage. J'aime pas faire l'admin chiante, mais j'ai pas le choix. tu veux bien changer de vava ? Je peux même t'aider à chercher une joli blonde aussi sublime que Amber (aa)
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyLun 26 Juil - 18:36

    mercii I love you
    y a pas d'problèmes, je comprend tout à fait! c'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé de me rappeler la réservation pour Roby que j'ai faite deux semaines auparavant. (a)
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyMer 28 Juil - 19:39

Cool (:
bonne chance avec ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyJeu 29 Juil - 11:35

    it's ended. (a)
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyJeu 29 Juil - 13:31

j'adore ta fiche 'cause happiness throws a shower of sparks. 955563 ,
tu es donc validé (:
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MessageSujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks.   'cause happiness throws a shower of sparks. EmptyJeu 29 Juil - 14:22

    merci beaucoup. I love you
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