LOU-ALIX ; don't save me 'cause I don't care · FINITE

got my ass squeezed by sexy cupid.

Lou-Alix Aägrid Doyle. Dix-neuf ans. Péripatéticienne ou, plus couramment, pute. Brisée. Voilà comment on pourrait décrire cette jeune femme, là, assise au bar. Si vous allez la voir, vous vous ferez sûrement éjecter. Sauf si vous êtes un homme et que vous avez une belle gueule. Là, vous aurez peut-être la chance de finir dans son lit ce soir. Mais si vous souhaitez faire ami-ami avec cette demoiselle, vous vous foutez le doigt dans l’nez. Elle n’est pas de ce genre. Elle ne l’ai plus, du moins. Il est brisée. Brisé de l’intérieur. Il n’y a qu’une personne qui peut panser sa plaie et elle refuse de ce l'avouer..

« Je m’appelle Lou-Alix, mais je n’aime pas mon prénom. Et puis, par dessus le marché, je suis pas ravie de pouvoir dire que j’en ai un second qui est encore pire. Irish. Lou-Alix Aägrid Doyle. Je suis une texane aux origines anglo-irlandaises. Avouez, vous avez jamais vu ça.. Née à Odessa il y a de ça 19 ans, je ne suis arrivé à Los Angeles que récemment. Besoin de changement d'air, dira-t-on. Quoi qu'il en soit, je suppose que si vous êtes là c'est parce que vous voulez connaître mon histoire, n'est-ce pas? Et bien ouvrez grand vos yeux, la voilà qui arrive.

Comme dit plus haut, je suis née au Texas, à Odessa pour être précise. C’est là bas que j’ai passé mon enfance, mon adolescence et une partie de mon âge « adulte ». Mon père et ma mère n’était pas spécialement riche, mais ils n’étaient guère pauvres non plus. Ils étaient dans la norme, quoi. Et puis, ma mère avait hérité d’une ferme, ou plutôt d’un ranch. Vous savez, c’est grâce à ces trucs là que la plupart des Texans font fortune. Encore aujourd’hui! Mais pour nous, ça n’a jamais réellement décollé, même si les Doyle sont réputés pour leurs écuries. Dans tous les cas, je n’ai pas forcément eut la vie facile. Pendant que mes parents se crevaient à la tâche, moi je ne les aidait pas en ne foutant rien en cours. Toujours la tête dans les étoiles, je pensait plus aux garçons qu’à Thalès, Pythagore, Lénine, ou Hitler. Il n’y avait qu’en français que j’écoutais, du moins que lorsque l’on faisait de la poésie ou que l’on étudiait le thème de l’amour. Moi, poète? Que dalle. C’était juste parce que les garçons aiment entendre les filles romantiques qui leur sortent des mots d'amour, des mots de tous les jours, car ça leur fait quelques choses. Enfin, certains d'entre eux. A cette époque, au lycée, je ne croyais pas en l’amour. Pour moi, c’était façonné, ça ne pouvait pas exister. Et puis, l’année de mes quinze ans, ma vie changea du tout au tout. D’abord, mon père mourut. On ne sait pas trop de quoi. Certains disent une mauvaise grippe, d’autre d’épuisement, ou encore une soit disant tumeur au cerveau. Mais moi, je n’y croyais pas. A mon avis, c’était un suicide. Pourquoi dis-je cela? Car c’est moi qui l’ai retrouvé. Il était allongé sur son plumard, les yeux fermé, un putain de sourire apaisé sur le visage, une boîte de médocs vide à côté d’sa tête. Et puis, il puait l’alcool. Ce bien triste événement nous à rapproché. J’ai commencé à reprendre ma vie en main, et j’ai décidé de devenir flic. Après tout, y a pas b'soin d'être une grosse tête, et j'ai entendu dire qu'avec le brevet en poche t'pouvais entrer dans la gendarmerie. Alors j’ai donc fait tous les concours possibles et inimaginables. Rien. Que dalle. Et un jour, en sortant d’une épreuve, je l’ai vu. Lui. Celui qui allait changer ma vie. J’avais beau être une sale fille, une glandeuse professionnelle, il s’en moquait. Liam. Mon Liam. Mon bien-aimé. Celui que je n’oublierais jamais. Je me rappelle qu’il avait tourné la tête vers moi et qu’il m’avait sourit. Mais moi, je suis parti sans rien dire. Puis, quelques jours plus tard, je l’ai revu devant notre ferme. Je suis sortie et suis allé le voir, lui demandant ce qu’il pouvait bien faire ici, précisant que c’était une propriété privée. Il me répondit alors que c’était ma mère qui l’avait contacté pour qu’il lui donne un coup de main côté entretient.

A partir de là, il ne m’a plus lâchait. Il était toujours là, à me coller comme un toutou qui attends son os. J’essayais de le dégoûter de moi, de faire en sorte de le répugner. Car même si je clamais haut et fort le contraire, je ne voulais pas qu’il souffre. Et avec moi, il n’aurait pas pu avoir une vie saine. Et puis, un beau jours, ma chère mère et rentrée tout sourire, un homme derrière elle. Voilà trois mois que mon père avait clapser et elle, elle se ramène avec un de ses soit disant biker en proclamant qu’il s’agissait de mon nouveau père. Tout de suite, j’ai senti les emmerdes à pleins nez. Et j’avais raison. Deux semaines plus tard, il s’était déjà installé et là, j’ai commencé à flipper. Et puis, au bout de quelques jours, j’ai commencé à être la cible de sa colère, son sac à patates dans lequel on tape pour se défouler. Tous les jours, je m’en prenait plein la gueule. Il me laissa à peine le temps de m’en remettre que je me retrouvais avec un nouvel œil au beurre noir. Pas super pour draguer, ça.. Un soir, il était tellement saoul qu’il s’est rué vers moi et m’a frappé toute la partie droite du visage. J’avais le nez et la bouche en sang. Je crachais ce liquide rouge. Et ma mère n’a pas réagi.

J’ai alors remarqué que j’avais réellement besoin d’une présence masculine auprès de moi, et le premier à avoir répondu présent était Liam. Tout de suite, il m’a pris sous son aile, lui qui était pourtant de deux ans mon aîné et qui, normalement, aurait du s'en foutre de moi. Comme les autres, d'ailleurs. Mais je l’aimais. Je m’en suis rendu compte lorsque j’ai courut en direction de chez lui, le visage en sang, et que j’ai frappé à sa porte. Il a ouvert, a deviné et n’avait pas chercher à me demander des détails. Il m’avait simplement saisit par la taille et m’avait attiré contre lui, se serra contre moi. De mon côté, un de mes bras parcourait son dos tandis que l’autre caressait sa chevelure blonde. Je ne suis jamais retournée chez moi.

Depuis ce jour là, nous vivions le parfait amour et l'allumeuse invétérée que j’étais s’était enfin calmée. Je l’aimais. Je ne voulais que lui. Il était mon échappatoire, ma bouffée d’air frais. J’avais dix-sept ans. Nous n’avons eu certes qu'un an à nous. Du moins, six mois d’amour. Mais un amour fou, le vrai, le beau. Et dire qu'il allait me demander ma main.. Il avait préparé l'ambiance parfaite, la lumière, la musique, les bougies. J'avais deviné en parti ses intentions en entrant dans le lieu de rendez-vous qu'il m'avait donné. Et je comptais lui dire oui. Quelque chose que je n’aurais fait pour aucun autre. Mais il n’est jamais arrivé. Au départ, je pensait qu’il s’agissait d’un contretemps et qu’il n’avait pas pu prévenir, mais lorsque j’ai vu ce numéro s’afficher sur l’écran de mon portable.. Je savais que c’était moi qu’il avait inscrit en « personne à prévenir en cas d’urgence » .. J’ai tout de suite compris. J’ai décroché, la voix chevrotante, et on m’annonça qu’il avait eu un accident de voiture. Il allait traverser, et il s’est fait faucher par une voiture qui arrivait à plein fouet. Mort sur le coup, une bague de fiançailles dans la poche.


J’ai quitté le Texas suite au décès de Liam. Trop de souvenirs. Je suis donc venu m’enterrer à Los Angeles. Pourtant, les gens pensent que je ne suis là que depuis peu, étant donné que je ne sortais pas, je ne mangeais pas, je ne bougeais pas de mon canapé, fumant cigarettes par cigarettes, allant presque jusqu’à deux paquets par jours. Je n’avais aucuns revenus, et au bout d’un moment ma mère à arrêter de me payer le loyer de l’appartement. Au bout de trois mois, je me suis fait virer de chez moi. J’étais à la rue, et je ne comptais pas retourner à mon ancienne vie. Alors j’ai déconné. J’ai sombré encore plus. Je couchais avec des homme juste pour pouvoir profiter de leurs ressources le temps d’une nuit. Je ressemblais à un fantôme. Et puis, j’ai rencontré cet homme. Il est devenu mon mac, et moi je suis devenue un objet sexuel à la porté du premier venu. J'avais une soit disant belle gueule, et j'passais plutôt bien auprès des éventuels clients. Même si je devrais limite le faire, je ne peux pas le haïr. C'est grâce à lui qu'j'ai un endroit pour me loger. Enfin.. Au moins, j'ai ma sœur avec moi.

where are those fucking chickens ?

PSEUDO/PRÉNOM - My name is Biers, just Biers
AGE - 5555 ans
COMMENT T'ES ARRIVE LA, MON POTE ? - Par la volonté de dieu!
DIS, TU M'AIMES ? - Arf, non, il est horrible! Je me suis inscrite pour ça! Quel odieux design, haha ^^
T'AS ENVIE DE ME FAIRE DES BÉBÉS ? - Des centaines
UNE KASDEDI, PEUT-ÊTRE ? - OUI! à kassou qui a bien voulu changer d'avatar avec moi, et puis aux admins pour avoir fait un forum aussi beau, et puis aussi au dieu vivant qui a fait le design
AUTRE CHOSE, MON CHOU ? - Mon prof m'a dit : Ton portable! J'ai répondu : 06 59 28 ... héhé ^^

Désolée du double-post, mais je tiens à vous faire part de quelque chose (: Alors voilà, avec Kassou, la fille qui a réservé KStew, on a parlé et on voudrait savoir si c'est possible de changer nos réservations?! Elle prendre Emma et moi Kristen. Voilà voilà ^^ Si besoin, elle m'a dit qu'elle avait Prom Queen sur msn :3. Wala, meurci ^^